Olivier Mériel n'est pas de ces photographes qui courent le monde à la recherche de sujets spectaculaires. Les siens sont de plus simples intérieurs de demeures abandonnées, de monastères inhabités et d'ateliers aux machines depuis longtemps silencieuses. Nul ne vient plus troubler le lourd silence qui les a envahis. Les hommes et le femmes qui ont travaillé là, qui étaient-ils ? Qu'ont-ils laissé derrière eux ? Quelles traces dans les mémoires ? Olivier Mériel pourrait prendre à son compte ces mots de Goethe : " Je vois d'un oeil qui sent. Je sens d'une main qui voit. "
Largeur |
24.00 cm
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Hauteur |
29.00 cm
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Profondeur |
2.00 cm
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Poids |
1.11 kg
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Nombre de pages |
63
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